Grand prix de l’imaginaire 2006,
Un début qui nécessite donc une familiarisation avec les personnages, leur langage (notamment le vocabulaire en rapport au vent) et le « background » de l’histoire assez flou. Pourtant une fois chose faite l’auteur nous dévoile soudain tout son talent : psychologie et interactions des personnages, exploitation complète de l’idée de départ dévoilant une imagination fertile, jeux d’écriture en milieu de roman, et toujours une histoire principale qui se révèle. Des questions naissent au fil de la lecture (se fut le cas pour moi du moins) : doit-on aller au bout de ses défis peu importe le prix ? Pousser son corps et son esprit dans ses limites, découvrir les vérités cachées. Ou bien doit-on prendre simplement le temps de vivre ? Peu importe, les quêtes, le bonheur de fonder une famille, d’avoir des amis est irremplaçable.
Au final ce livre à forcé mon admiration : imposant par le travail qu’il représente t’en stylistique qu’imaginaire.
Oui, l'admiration. Et puis le plaisir aussi : c'est avec ce livre que j'ai eu envie de relire de l'imaginaire après une dizaine d'années de désaffection. Grand livre, gros plaisir !
RépondreSupprimeroui, j'avais déjà lu que tu étais fan ;)
RépondreSupprimerBonjour. Je ne suis pas fan de S-f. Je suis solitaire et j'écris. J'ai découvert A. Damasio sur un album d'électro (Rone- Bora EP).Je voudrais joindre ce gars par mail. Si un de vous avez une piste je lui en serais trés reconnaissant.
RépondreSupprimerBest from Copenhague.
Clément
Alors la pas vraiment de tuyau pour ma part mais je tenterais du cote maison d'édition
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