Où, nous, érige la censure
Déjà pulsant au rythme de ses hanches
S’abandonnant à la luxure
Enchaîné par le désir
Prisonnier d’un sourire
Soudain susurre suavement
De sa bouche l’envie de luxure
Vivre dans la déraison
Esclave de mes instincts
Ivre de toutes ces visions
Abandonné au déclin
Que triomphe les succubes,
Que triomphe les sirènes,
Qu’à travers nos faiblesses le sexe règne
Le fou prend la tour
Et bien loin s’éteint
Le souvenir de l’amour
J'apprécie beaucoup ce texte ! Il recèle une part de vrai, animale certes, mais indéniable...
RépondreSupprimerMerci Elvys c'est un de mes premiers poèmes ou je cherchais à dépeindre tous ce que la passion à de grisant et d'aliénant.
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